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La flèche du Scythe se déroule à l’époque Romaine ou Rome domine une grande partie du monde. Cette Empire que tout le monde craint se voit menacée par plusieurs peuples barbares.
Les personnages dont Yares le Scythe sont très bien décrit, personnalisés et attachants. J’aime beaucoup Yares et son fils Mercurius qui, je trouve, se rapproche et sont plus facilement attachant que les autres. C’est normal, les autres ont le mépris et le dédain des véritables Romains.
L’univers est familier et pour tous ceux qui aiment l’époque de Jules Césars, vous apprécierez. L’auteur joue avec le fait des croyances divines et des pouvoirs surnaturels pour les inclurent dans le récit. Cela rajoute une touche de fantastique assez sympa. Je dois dire avoir été émerveillée de découvrir un animal mythique et d’autres mythologiques (dont je tairais les noms). Ce sont donc pleines de petites choses qui m’ont fait tourner les pages. Cependant, le suspens n’était pas non plus insoutenable et je pouvais facilement arrêter au milieu d’un chapitre. En parlant de chapitre, ce roman n’est pas découpé de manière traditionnelle. Il y a des chapitres (que quelques-uns) avec un chapeau (qui je pense n’a pas de place ni d’apport au récit) et ce chapitre est découpé en plusieurs parties inégale. Ces parties sont consacrées à chaque fois à un et un seul personnage. Nous pouvons donc voyager de vision en vision avec l’œil du narrateur omniscient. J’ai adoré par contre les moments de lecture dans les pensées des personnages (mis en italique). J’adore quand nous pouvons nous immiscer dans la vie privée et les méandres des esprits.
Mais suspens il y en a. La fin laisse de grosses interrogations et plusieurs choses n’ont pas encore été finalisées (je ne peux, encore une fois vous en dire plus car cela compromettrait la découverte de celle-ci). Je pense donc lire le tome 2 afin d’assouvir ma curiosité. Donc voilà, c’est un bon médiéval fantastique à l’époque des Romains qui se laisse lire facilement. Bonne lecture à tous !